Répression a Téhéran
Le régime et les forces répressives ainsi que la Vevak de Téhéran semblent de plus en plus inquiètes et nerveuses suite a une grande campagne de graffitis appelant a la destitution du dictateur Khamenei et de son homme de paille Ahmadinejad aussi multiplie t’il les arrestations « préventives » selon des témoignages publiés par le site street journalism les téheranais ont pu assister cette fin de semaine a des contrôles d’identité sur les principaux grands axes routier et a l’entré de la ville.
En province ou d’autres campagnes de graffitis anti dictature au bord des routes sont apparus d’autres rapport indiquent que les flics de la dictature ont intensifiés ces dernières semaines les mesures de sécurité et des contrôles d’identité musclés particuliérement dans la ville de Karadj et sur l'autoroute Karadj-Qazvine. des points de contrôle d’identité et des fouilles musclés ont étés observervé autour des villes de Malard-e Fardis et Andicheh où les véhicules sont systématiquement fouillés. Les forces de sécurité et répressives ont également établi des points de contrôle sévères à l'entrée des tunnels de Loushan et Manji entre les villes de Qazvine et Rasht
L’Adjoint du chef de la police des opérations de sécurité du Grand Téhéran a annoncé l'arrestation de 78 personne dans une campagne dite «de chasse aux voyous et aux hooligans » dans la capitale.
Selon l’ISNA un des organes de propagande médiatique de la dictature le, Colonel Hossein Ghassemlouyi a déclaré qu’au cours des 10 derniers jours, la police et les forces répressive de sécurité avaient arrêtés 78 personnes d’un âge moyen situé entre 19 et 30 ans. Il a mentionné que parmi elles certaines de ces personnes ont été renvoyées devant les autorités judiciaires . Il a en outre affirmé que pendant les jours à venir cette nouvelles campagne d’arrestations effectuée dans le plan dit de « chasse aux voyous et aux hooligans » allait s’accélérer et qu’un large éventail de procédures seront exécutées.
De nombreux témoignage indiquent pourtant que malgré ces allégations la majorité des personnes arrêtées ces jours derniers n’avaient pourtant aucun antécédents de militantisme politique ou de passé judiciaire dit « délictueux ».
Meme ci ces arrestations ne semblent pas liées Il faut dire que le 27 juillet 2010 une violente émeute a éclatée a Téhéran lors d’un match de foot opposant les équipes du Tabriz traktor factory et le club Persépolis de Téhéran le régime a bien essayé de présenter cela comme un « affrontement de hooligans minoritaires déshonorant le sport et les joueurs »et d’un affrontement entre supporters des deux clubs
Dans les faits se sont environ 35 000 supporters communs aux deux clubs qui se sont mis tous ensemble qui ont affrontés durant 3 heures avec tout ce qui leur tombait sous la main les bassidjis et les forces répressives des slogans contre Khamenei on pu être entendus les supporter ont également mis en piéce le local de la police dans le stade craignant que l’émeute ne gagne la ville les forces répressives ont attendues que cela se calme mais deux personnes auraient étés arrêtées
http://newsagency-ina.com/Report-Details.aspx?reportId=3859&back=1
Les matchs de foot en Iran servent souvent même si les femmes et les hommes sont placés dans des tribunes séparées de lieux ou l’ont peut faire éclater sa colère et scander des slogans contre le régime
Conférence de presse sur le sort Sakieh Mohammad Satinai toujours sous le coup d’une condamnation a mort malgré la « suspension » de sa peine selon le très hypocrite ministre des droits de l’homme iranien Mohamad Larijani
Vidéos
http://iranenlutte.wordpress.com/2010/07/28/conference-de-presse-sur-la-situation-de-sakineh/
2010 à Londres sur la situation de Sakineh Mohammadi Ashtiani, avec une intervention de Mina Ahadi, coordinatrice de la campagne et du comité international contre la lapidation (en farsi traduit en anglais, puis en anglais).
http://www.youtube.com/watch?v=pUAB7jgt_ZY
http://www.youtube.com/watch?v=rkSY1F_bdBI
http://www.youtube.com/watch?v=fR5BKgzn6fE
http://www.youtube.com/watch?v=BIYgNRJUPuU
Malgré les coups, les tortures physiques et mentales , les discriminations et pressions comme la négation faites aux prisonniers politique de leur droit de téléphoner ou de recevoir des visites de leurs familles amis et proche la dictature n’arrive pas a briser la détermination des prisonniers politiques iraniens qui multiplient les grèves de la faim et des soins médicaux
Un nouvelle est tombée ce week end décidément très embarrassé par son soutien a Ahmadinejad mais surtout a cause nombreuses protestations de groupes de défenses des droits humains et de groupes féministes du Bresil qui se sont multipliées ces dernières semaine le président Luiz Ignacio Lula da Silva aurait déclaré avoir envoyé une lettre a Ahmadinejad lui demandant la grace de Sakineh Mohammadi Ashtiani et qu’il était prés a lui accorder l’asile politique sans conditions , simple coup de communication ou embaras certain face a la solidarité internationale pour Sakineh Mohammadi Ashtiani qui s’est manifesté au Brésil l’affaire reste a suivre de prés
"Je voudrais appeler mon ami Ahmadinejad, le Guide suprême de l'Iran, et le gouvernement de l'Iran à permettre au Brésil d'accorder l'asile politique à cette femme", a déclaré Lula au cours d'un meeting électoral en faveur de la candidate de son parti à l'élection présidentielle à Curitiba, selon l'agence officielle Agencia Brasil »
Pas de nouvelles du militant syndicaliste ouvrier incarcéré Reza Shahabi
il n’y a aucune information sur la situation de Reza Shahabi, membre du bureau exécutif du Syndicat des Transports de Téhéran, incarcéré depuis le 12 juin 2010.
Selon le collectif de défense des droit humain Rahana Shahabi a appelé trois fois sa famille avant le 22 juin. Il ne les a plus du tout contacté ces deux dernières semaines.
Lors de sa dernière conversation, il s’était plaint de douleurs au dos et au coup. Sa famille est très inquiète de sa situation.
Sa famille et son avocat ont fait une requête au bureau du procureur et au tribunal des droits civils mais n’ont eu aucune réponse de la part des autorités.
Le collectif franco iranien des réfugiées politique iranien Iran Echo en profite pour lancer une campagne de solidarité internationale pour la libération de
Agissez maintenant! Envoyer un message aux autorités politiques et judiciaires iraniennes et les appeler d’abandonner immédiatement et sans conditions toutes les accusations contre Reza Shahabi.
Vous pouvez aussi envoyer un message à l’ambassade ou à la représentation diplomatique de l’Iran dans votre pays.
Envoyez une copie de vos messages de protestation aux contacts suivant
http://www.iran-echo.com/communique56.html
http://www.iran-echo.com
info@leader.ir, info@judiciary.ir, iran@un.int, ijpr@iranjudiciary.org, info@dadiran.ir, office@justice.ir, ilo@ilo.org, cabinet@ilo.org, eastgulf@amnesty.org, hrwgva@hrw.org
CC: info@workers-iran.org
Rapport sur le sort Mahboubeh Karami
Le 17 Juillet 2010, Mahboubeh Karami une camarade
iranienne militante des droits des
femmes et membre de la Campagne Un Million de Signatures, a été transférée de
la prison d'Evin, à l'hôpital Taleghani pour subir une opération de chirurgie Mahboubeh
Karamé a annulé e son pour manifester contre
les restrictions imposées sur elle par l'administration pénitentiaire.
http://www.rhairan.us/en/?p=5608
Dans une récente conversation avec son avocat et sa
famille, Mahboubeh Karami a déclarée qu'elle préférait rester en prison car les
problèmes de maltraitances à l'intérieur
d'Evin vont au-delà de son opération
Après des efforts persistants de sa famille et des avocats
pour le suivi de son état, Mahboubeh Karami a été convoquée pour un examen par
le bureau du médecin en médecine légale. Selon le soutien international pour la
campagne pour les droit des femmes en
Iran, une lettre du bureau de médecine légale a été envoyée à la clinique de la
prison d'Evin qui indique Mahboubeh
Karamè souffre d’une grave dépression.
Et qu'elle éprouve aussi de graves
problèmes respiratoires.
http://www.iranhumanrights.org/2010/07/mahboubeh-karami-denied-bail-despite-poor-health/
Les règles et les règlement intérieur appliquées à l'état la prison d'Evin indiquent que son mandat de détention
provisoire ne peut être changé même si elle payait une caution ou du fait de son état de santé
Mahboubeh Karamé avait été arrêtée par des agents de sécurité le 2
mats 2010 à la maison de son père. Son
frère affirme que Mahboubeh et ses avocats ont comparu devant le tribunal le 28
Juin 2010, mais juge Pir-Abbasi et le représentant du ministère public
n'étaient pas là et son procès a été
reporté au 9 août 2010.
Grave
problème de Santé et inquiétudes pour
des prisonnier en grève de la faim a la
prison d’Evin
au septième jour de
leur grève de la faim, plusieurs prisonniers politiques iraniens de la prison
d'Evin, ont été transférés à un hôpital en dehors de la prison
selon le site persan Kaleme des rapports sur 16 prisonniers qui font la
grève de la faim depuis une semaine quatre prisonniers ont été prises en charge à
l'infirmerie de la prison puis ont été transférés a l'isolement après avoir
reçu des services médicaux. Parmi elle le détenu militant politique étudiant, Majid
Tavakoli a refusé d'accepter des
services médicaux y compris et la transfusion qui permettrait de le réhydrater
Ces prisonniers politique ce sont mis en grève pour protester contre les
maltraitances que leur font subir aux quotidien les matons et par les gardiens
de prison et d'être détenus dans des conditions insalubres.
Courageusement et ce malgré les risques encourus les familles de ces détenus se sont rassemblées et ont manifestées devant le bureau
de procureur de Téhéran pour
exprimer leurs préoccupations sur
le sort et les maltraitances que l’ont fait subir a leurs proches
http://azarmehr.blogspot.com/2010/08/families-of-political-prisoners-gather.html
Rassemblement des familles des prisonniers en grève de la faim
Les forces de sécurité ont tenté de disperser les familles de ces seize prisonniers politiques en grève de la faim à la prison Evin, qui s’étaient rassemblées devant le bureau du procureur le 31 juillet dans la matinée. Selon le collectif Rahana , les familles de Hossein Nourani Nejad, Bahman Ahmadi Amoui, Ali Tajernia, Ali Parviz, Massoud Bastani et environ 60 autres personnes étaient présentes. Elles ont étés dispersées devant le bureau du procureur par les forces de sécurité, 30 membres des familles de prisonniers politiques ont continué leur protestation et se sont rassemblés ensuite devant le bureau du ministère de la justice.
Après avoir protesté contre le comportement agressif des gardiens et des fonctionnaires de la prison et s’être plaint des restrictions à leurs droits de visite, seize prisonniers politique de la section 350 de la prison Evin ont été transférés en cellule d’isolement où ils ont commencé une grève de la faim. Parmi ces prisonniers les noms suivant sont apparus
Majid Dari, Majid Tavakoli, Adollah Momeni, Zia (Zieddin) Nabavi, Nader (Ebranim) Babai, Hamid Reza Mohammadi, Peyman Karimi Azad, Babak Bordbar, Jaafar Eghdami, Ali Parviz, Gholam Hossein Arshi, Hossein Nouraninejad et Koohyar Goudarzi, sont actuellement en grève de la faim à la prison Evin de Téhéran.